Oj wi fajn...

Beschreibung
EVB CD-05
Oj wi fajn ...
Ein jiddisches Klezmerprogramm
60 Minuten Musik:
Musique klezmer für Trio d'anches
&
Jiddische Lieder für Gesang und Trio d'anches
Ensemble Trielen:
Ch. Dravers: Clarinette, Clarinette basse
Ph. David: Basson
M. Hoffmann: Hautbois, Hautbois d'amour, Cor anglais
arr. M. Hoffmann et G. Boulestreau
Programme du CD :
1. Freylechs (danse klezmer) 1.29
2. Nigun 2.26
3. Schpil she mir a lidele in jiddisch 3.50
4. Lomir sich iberbeten 1.55
5. Baym Shoster Rebn 2.34
6. Schlof majn kind 4.31
7. Ojfn Pripetschik 5.06
8. Die Mesinke ojssgegeben 2.16
9. Der Yid in Jerusalem 1.45
10. Tish nigun 2.36
11. Tumbalalaika 2.32
12. Oj wi fajn wet ess sajn 1.54
13. Chossn kalah mazel tov 1.09
14. As der Rebbe Elimelech 2.57
15. Misourlou 1.32
16. Bulbe 2.09
17. Suite Klezmer 3.16
L'ensemble Trielen est né de la rencontre de trois musiciens, Michel Hoffmann, Christophe Dravers, et Philippe David. Attirés par les musiques populaires, et désireux de donner au trio une sonorité originale, ils commencent à insérer dans leurs concerts quelques pièces de musique klezmer. C'est en les écoutant dans ce répertoire que l'acteur et metteur en scène berlinois Knut Koch a l'idée de leur faire connaître la chanteuse allemande Jutta Carstensen, spécialisée dans les chants yiddish. C'est également lui qui est à l'origine de leurs premiers spectacles en commun, donnés à Berlin lors d'un gala à l'Opéra Comique, et au Renaissance Theater avec l'acteur Michael Degen. « Oj wi fajn... » (« Ah, quelle joie... ») est basé pour une large part sur les pièces jouées lors de ces spectacles. Les chansons yiddish alternant avec des pièces klezmer sont harmonisées ou écrites spécialement pour l'ensemble, ce qui constitue une démarche entièrement nouvelle dans ce répertoire. L'enjeu est ici de montrer que l'extraordinaire énergie de la musique klezmer et l'accompagnement musical de la langue yiddish, porteuse de tant d'émotions, peuvent être servis par une formation « non habituelle » pour peu que les musiciens puissent infléchir leur jeu. L'écriture même est évolutive, laissant la place à une libre ornementation ou à l'improvisation, afin de mieux traduire la spontanéité, l'humour ou l'infinie tristesse de ces témoignages musicaux.